Presse

GAZETTE DROUOT DU 17 JUIN 2020

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GAZETTE DROUOT DU 11 MARS 2022

La vente Beaux intérieurs picards et normands relayée dans la gazette Drouot.

Découverte d'un dessin préparatoire de Jean-Baptiste Greuze, préemption d'un habit de coseiller d'état d'époque Empire par le châtau de Fontainebleau, une exceptionnelle suite de douze carreaux de céramique de Geaorges Jouve adjugée 29 036 €.

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Retrouvez également nos résultats de vente aux enchères sur invaluable !

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ESPRITS HOPI 

LES ELOGES DE LA GAZETTE DROUOT DU 6 JANVIER 2022.

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Toutes nos ventes en collaboration avec nos commissaire-priseurs et maisons de ventes aux enchères partenaires sont à retrouver en live sur Intenchères.com !

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Pierre Grignon Dumoulin, expert près la Cour d'Appel d'Amiens, adhérent du CNCEJ (Conseil National des Compagnies d'Experts de Justice).

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Le Parisien du 5/06/2021

Les héritiers d’un collectionneur de Pierrefonds mettent en vente des trésors impériaux

Ce dimanche, des souvenirs rares de la famille impériale sont mis en vente, dont des courriers émouvants de Louis-Napoléon Bonaparte. Ils ressurgissent d’une collection particulière qui a déjà profité au château de Compiègne, celle du docteur Ferrand à Pierrefonds.

 

 
 
 
 
 
 
 
Le 5 juin 2021 à 14h56

Les passionnés du Second Empire seront nombreux sur Interenchères, le site de vente aux enchères en ligne, ce dimanche à 14h30. Des témoignages rares sont mis en vente par les héritiers du docteur Ferrand, un collectionneur chevronné qui a vécu à Pierrefonds au début du siècle dernier.

Pierrefonds, cette ville dont l’impératrice Eugénie s’était prise d’affection. L’Espagnole, amie d’Eugène Viollet-le-Duc, suivait avec grande attention la reconstruction du château ordonné par son mari.

 

Les quarante lots sont en vente au Havre (Seine-Maritime), et non dans l’Oise où les pièces ont longtemps séjourné. « L’une des descendantes habite là-bas, révèle l’expert compiégnois mandaté par les descendants, Pierre Grignon-Dumoulin. Et la famille ne voulait pas provoquer trop d’émotion auprès des locaux passionnés d’Histoire. »

Au lendemain du centenaire de la mort de l’impératrice Eugénie, l’an passé, et à la veille de la réouverture du musée de l’impératrice restauré, prévu en octobre au château de Compiègne, ces objets sont ainsi teintés d’actualité. D’ailleurs, le château de Pierrefonds consacre à la souveraine une exposition « Eugénie Impératrice de la Mode », du 18 juin au 19 septembre.

Lettre rédigée par le prince impérial Louis-Napoléon Bonaparte à son majordome et ami, Xavier Uhlmann, en date du 30 avril 1879, un mois avant sa mort. Il fut tué en Afrique par les Zoulous le 1er juin. Il avait 23 ans.
Lettre rédigée par le prince impérial Louis-Napoléon Bonaparte à son majordome et ami, Xavier Uhlmann, en date du 30 avril 1879, un mois avant sa mort. Il fut tué en Afrique par les Zoulous le 1er juin. Il avait 23 ans. DR

Une partie de la collection est au château de Compiègne

« Cela paraît si proche et si lointain à la fois. C’est émouvant de lire ces courriers entre le Prince et son valet, Uhlmann, sa correspondance avec sa mère, l’Impératrice, alors exilée en Angleterre, témoigne l’expert qui les a eus entre les mains. Ces souvenirs nous font entrer dans l’intimité de cette famille et nous font redécouvrir le destin tragique de ce jeune prince mort de plusieurs coups de sagaie en terre Zoulou, en Afrique. » Le télégramme du rapatriement du corps est également en vente.

- Napoléon, Prince Impérial
Tirage sur papier albuminé contrecollé sur carton du prince impérial, fils de Napoléon III, daté du 16 mars 1874 et contre signé. Mis aux enchères 120 euros.
- Napoléon, Prince Impérial Tirage sur papier albuminé contrecollé sur carton du prince impérial, fils de Napoléon III, daté du 16 mars 1874 et contre signé. Mis aux enchères 120 euros. DR

Le château de Compiègne qui détient l’uniforme dans lequel est mort le prince et les sagaies assassines, n’a pas souhaité révéler s’il comptait participer aux enchères et ainsi compléter sa collection. Une collection qu’il a héritée de la Ville de Compiègne, qui l’avait hérité… du docteur Ferrand.

« Le docteur Ferrand acquit un millier de pièces de mobilier et d’objets ayant appartenu à la famille impériale lors des ventes du contenu de leur résidence anglaise de Farnborough Hill, en 1927, précise Pierre Grignon Dumoulin. Il installa tout d’abord sa collection à Pierrefonds, avant d’en faire don à la ville de Compiègne, qui la déposa immédiatement au musée national du château de Compiègne, où elle se trouve toujours, au musée de l’Impératrice. »

Ces lettres manuscrites seront certainement très disputées. En effet, elles sont mises à prix entre 80 et 200 euros.

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GAZETTE DE L'HOTEL DROUOT N°21

Vendredi 28 mai 2021 

La sensualité féminine par Roaoul Larche

 

 

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Le piano de l'assciation l'Anthurium vendu aux enchères.

Oise Hebdo du 26 mai 2021.

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LA GAZETTE DROUOT 

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UN VITRAIL RARISSIME DU XIIème SIECLE PROVENANT DE LA CATHEDRALE DE TROYES REDECOUVERT ET PREEMPTE PAR L'ETAT !

Cette oeuvre majeure au niveau national a enfin retrouvé les collections publiques grâce à une collaboration avec les services de l'état afin d'éviter la sortie du territoire et pourra être admirée après restauration dès 2020.

 

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Un tableau iconique de Claude-Joseph Vernet redécouvert après deux cents ans !

 

Il attendait la lumière depuis plus de deux cents ans.

La source abondante, œuvre du peintre avignonnais Claude Joseph Vernet (1714-1789) a été redécouverte lors d’une expertise dans une maison de retraite. Pierre Grignon Dumoulin expert à Compiègne est appelé pour faire l’inventaire des biens d’une dame en maison de retraite. Lors de son expertise, il n’en croit pas ses yeux en découvrant ce tableau.

« Au premier abord, j’ai reçu un choc esthétique, puis immédiatement après, le doute : ce n’était pas possible qu’une œuvre de cette qualité soit accrochée là, sans précaution particulière et soit restée dans cet état. »

Et pourtant…

Après avoir mené ses recherches, l’expert est formel, il s’agit bien d’une œuvre originale de Joseph Vernet, le même à qui Louis XV avait demandé en 1753 de peindre les principaux ports de France, conservés au musée de la Marine et au Louvre.

Mais le meilleur restait à venir

L’expert, après ses recherches se rend compte qu’il ne s’agit pas de n’importe quelle toile du maître.

« La date, 1766, ainsi que le format ovale et de petite taille ont été déterminants dans l’authentification de cette toile. Il avait été commandé par la Présidente de Bandeville, grande collectionneuse et mécène, puis présentée au Salon de 1767. »

Admirée par Diderot en personne.

Le célèbre philosophe a écrit sur les Salons et les peintres qui y exposaient. Il avait souvent la dent dure mais admirait Vernet, au point de créer spécialement pour lui une nouvelle manière de décrire les tableaux. Lors du salon de 1767, il trouve que les tableaux du maître sont si beaux qu’ils méritent mieux qu’un simple commentaire journalistique. Il décide donc de les décrire comme s’il s’agissait de véritables paysages dans lequel il se promènerait avec des enfants et un ami. Son invention est si révolutionnaire que de nos jours encore, la « promenade Vernet » est encore éditée à part des commentaires sur les salons !

Or le plus beau dans l’histoire c’est que le tableau redécouvert par Pierre Grignon Dumoulin n’est rien moins que le premier site de la Promenade Vernet ! le premier paysage vu par le brillant esprit et peut-être celui qui lui a donné l’idée de sa promenade !

« Je n’en croyais pas mes yeux ». L’expert est abasourdi de pouvoir contempler une scène admirée par l’un des plus grands philosophes du XVIIIème siècle français et considérée comme perdue depuis plus de deux cents ans.

La cliente quant à elle est très heureuse de la découverte et accepte de le présenter à la vente.

« Le rôle de l’expert, en tant que professionnel hautament qualifié, est central dans ce type de découverte. Le tableau avait été vu à plusieurs reprise par des commissaires-priseurs qui n’avaient pas cru ou pas compris ce qu’ils voyaient, ni l’intérêt artistique qu’il représentait ».

Comme quoi il reste certainement encore de nombreux trésors à découvrir…

 

 

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CHÂTEAU DE GLAIGNES : LA VENTE DE TOUS LES DELIRES

2 mars 2019

https://www.courrier-picard.fr/art/169050/article/2019-03-01/le-delire-vendu-aux-encheres-au-chateau-de-la-garenne-glaignes/node/18751

 

 

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LE COURRIER PICARD Mars 2017

Un tableau perdu ressurgit un siècle après, à Compiègne

Il avait complètement disparu des écrans radar, silence radio depuis 1921 », s’enthousiasme Pierre Grignon Dumoulin à propos de Vierges Mères.

Ce tableau de Luc-Olivier Merson (1846-1920) est sorti des limbes où il se trouvait depuis quasiment un siècle.

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DROUOT

De 1850 à 1980, des prémices à la fin de l’art moderne, le titre de la vente promet  de retracer un siècle d'art moderne de 1850 à 1980 à travers un large panel de spécialités. Focus sur les années 1980 avec un exceptionel pendentif et une toile de Georges Mathieu.

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LE PARISIEN

Il vous dira combien vaut votre trésor

Après avoir travaillé dix ans à l'étude Massol à Paris, Pierre Grignon-Dumoulin s'est établi à Compiègne et lance son cabinet d'estimation d'objets d'art, Artemis Estimations. Installé depuis l'été, il est désormais le seul dans ce domaine à réunir un réseau de professionnels ...

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